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10 septembre 2005 6 10 /09 /septembre /2005 00:00

















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6 septembre 2005 2 06 /09 /septembre /2005 00:00











   reste                                                                                             qu'il est assez pénible de s'en / laisser / tenir
                 aux                                cadres                                      /strictement









 
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1 septembre 2005 4 01 /09 /septembre /2005 00:00



cou leur cou ture c'était pas beaucoup plus qu'une moitié de deuil
                                                                                       et de toutes manièresne saura jamais dire        je            en parlant de la même chose          / point sur le j

 








 
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29 août 2005 1 29 /08 /août /2005 00:00
















a tondu

la peau de l'ourse avant qu'elle n'abuse
au ras des dents ma chère
avec méthode promptement appliquée à la lettre
et sans l'ombre d'éternuement
tonte et taille en souplesse, très près des hanches rondelettes
un doigté ganté talqué à vous couper le souffle avec
1.coupe-colle à m'envers reversible
2.toutes petites qualités requises
3.élagage des petits dépassements par élagueur-grimpeur à la nacelle élévatrice y compris abattage, désouchage, et soins particuliers au niveau des étages
la gaine culotte en est restée coite
d'une certaine roulure celle-là déroulée divan langure divinement toquée
de petites épingles à pousse verticale,
très bonne couverture au sol
résistant aux espacements lents

l'ourse et l'enfant du divan se portent

bien




/ en bandoulière






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28 août 2005 7 28 /08 /août /2005 00:00





supposons : des lunettes avec une femme derrière un grillage

je vous et elle vous, puis elles

ce sont elles, une supposition : la saison des framboisiers
à supposer, qu'elles y aient été, puis vous plus tard
des trois, la bouche, à peine se distingue
et vous à peine plus près ne savez pas de ces trois laquelle
vous touche,
         
à supposer / le ton est doux
oui le ton est le même de celle qui parle de celle qui se tait et de celle qui boit
vous touche aussi la couleur des framboises,
à y superposer une couleur de bouche
vous même, pour ne rien laisser paraître de la mouvance de vos yeux
supposons : une paire, les lunettes achetées la veille, des lunettes de veille,
des lunettes de veilleur de femmes et de framboises,
au dernier plan, à supposer que les framboises aient pu être cueillies
que l'image de l'une et l'image des autres elles d'elles, oui
en superposition
une position comme une autre
n'en fait qu'une





vous l'auriez enfermée, n'est ce pas ?

              













 
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25 août 2005 4 25 /08 /août /2005 00:00







Xx xxxx xxx xx xxxx xxxx xx xxxxxxxxx xxxxxxxxxxx..
Xx x'xx xxxxxxxx xxx xxxx : xx xxxxxxxxxx xxxxxxx
le héros meurt,
xx xxxxxxxxx xx xxx xxxxxxx..

c'est à cause du nom vous savez,
un nom c'est juste quelques lettres
il pouvait changer de nom à chaque chapitre
la mort du héros, c'est pour semblant
X’xxxxx xxxx xxxxxxxxx, xxx xxxxxx x’imagxxxxxx. Xxxxxxe,
x’xxx xx xxxxxxxx x’xxxginer.

ça devait être ailleurs, ça s'imagine, ça part longtemps parfois d
ans une sorte d'oblitération mentale,
ça comme un remord, le goût <--> les lettres, oui, il y en avait
sans enveloppes
sans mots, ou avec les mêmes, toujours les mêmes mots,
ceux qui reviennent
des dents du re mord
est-ce cela écrire ? elle demande
Xx xxxxxxx xx cahier, xx xx xx xxxx xx xx xxx : “Xxxxx xx xx
xxxxxx x xxxxxx xx xxxxxx, xx xxxx xxxxxxxx x’xxxxxxxxxx".

à l'intérieur du cahier, on avait mis le parc et les arbres,
le voyage en autocar, tu te souviens de ça ?
de ce matin là ? ils avaient dit demain matin, sans se connaître
sans se connaître, ils s'entendaient d'attendre
des mots, rien que des mots
X’xxxxxxx xxx xx xxxxxxx xxxx j’xxxxxx xx m’xxxxxxx.
du songe net, elle garde la trace à peine
une toute petite histoire bien nette pareille au songe
si petite
mais de sa part le trou
en part
une part de trou à part (du songe examiné









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17 août 2005 3 17 /08 /août /2005 00:00




...justa bien précis, un    alphabet complet, accents compris du large champ d'en-tête au centuple puis tout bien couru en bout de page, ah! en mourir
                                                                                /*de rire







 
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16 août 2005 2 16 /08 /août /2005 00:00






ça serre, gentiment mais
qui tringle le rideau la tringle
le triangle
l'angle la langue s'élanguent
l'étrange étrangle, ça trinque
serre
ce qui serre on sait pas, la dimension
qui s'échappe du manque, c'est pas , on sait pas
mais c'est là, un résultat stupide, d'un lourd ! d'un poids !
qui poisse sans préméditation, d'un coup, cul sec
on se sent la viande douloureuse
là              (elle met
   son doigt)
c'est là,
(elle passe son doigt sur la gorge, descend le long du cou
son doigt chargé déjà aussi et remonte avec, c'est         là,

elle montre )

ce qui coince se sent,
dans cette gaine là, le long du lent cours
des veines
s'engonce collerette col-carcan embourbe l'air même
bute là (p o s e   l a   m a i n   b i e n   p l a t e ,   la   paume   s u r   s e s   s e i n s)
cette serre essaime, se propage, se répand d'un pas plus loin
se libère dans la branche principale une étendue d'étang
à mesure ensuite, le poison décloisonne, s'imbrique, s'installe
se love, se tord, rampe bas et s'amourache, arrive à un enfoncement total
les dents
dans l'oeuf
(e l l e  r i t)
doucement, parce que ça serre.
(depuis, me suis couchée sur moi)(d e b o u t)





 
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15 août 2005 1 15 /08 /août /2005 00:00




Mettez là plats ,,, les plis du lit
,,, calinez, simili la cuirasse ,,,
palliez le bouquet d'un soupir entendu
, , ,  é t e n d e z
crescendo ,,, nos vergers ,,, de la verdeur des fruits ,,,
de muette malice, enfourchez ,,, 
,,,
approchez près du col ,,, les chevaux cabrioles
galopeurs de collines ,,, liés à couleur
des dessous de lit là : une gerbe ,,,
retournez matelas ,,, oreiller ,,, traversin ,,, traversez
le passage, paysage à pieds nus ,,, sandale ôtée ,,,
jambe assouplie ,,,
sous baldaquin joufflu et duvet rebondi ,,,
une prune de parme ,,, de la couleur du vin ,,,
du violet du fond de la robe violette ,,,
de vos rondeurs ,,, ma chère ,,, l'envol du lit
tient paraisons de nos virgules







 
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11 août 2005 4 11 /08 /août /2005 00:00























je m'enfiche
tout par terre
s'y étendre bas de
manche dimanche
tiré
jusqu'à la porte
jarretière
charroi encombrement
passent dessus
pissent






















              Extrait du texte de Daniel Dobbels
              Une note, en arrêt encore — janvier 2001







 
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